• X.O. Senavoe

    Surnommé“X.O” (pour Xtra-Ordinary : extra-ordinaire), X.O Senavoe (prononcer “éksso cinévo”) est né aux Etats-Unis, en California, de parents ghanéen et nigérian, tous deux professeurs. Très jeune, il part vivre au Ghana avec sa famille. Il repart aux Etats-Unis où il poursuit de brillantes études supérieures. Il obtient un poste dans l'un des cabinets américains les plus prestigieux du pays mais part au bout d'un an afin de poursuivre son amour de la musique. (Chanson jointe : C4.)

    Surnommé “X.O” (pour Xtra-Ordinary : extra-ordinaire), X.O Senavoe (prononcer “éksso cinévo”) est né aux Etats-Unis, en California, de parents ghanéen et nigérian, tous deux professeurs. Très jeune, il part vivre au Ghana avec sa famille. A 10 ans, son père meurt, et il apprend alors rapidement à être indépendant. Après le lycée, X.O. repart aux Etats-Unis pour étudier. Il va au Calvin College, dans le Michigan, où il se spécialise en commerce et suit une mineure dans le programme prémédical. Il devient le rédacteur en chef du journal de la fac, organise et anime les spectacles de talents internationaux et est un excellent athlète, détenant jusqu'à aujourd'hui, le record de l’université en triple saut.

    Deux ans avant sa remise de diplôme, X.O. doit quitter l’université, faute de pouvoir la payer. Un an après cet incident, un donateur anonyme lui donne l’argent pour finir son cursus. A peine commence-t-il à se réjouir de sa chance que sa mère meurt, en 2004. Ce que la mort prématurée de ses parents lui a appris est que la vie est courte et qu’il faut donner le meilleur de soi-même tant qu’on est là.

    Après être sorti diplômé du Calvin College, X.O. se focalise sur son talent pour les mots, et choisit de s’inscrire en fac de droit, à la Howard University School of Law, en 2005. Là-bas, il met en place un mouvement encourageant l’université à sensibiliser les gens au procès des « Six de Jena » et aux enjeux constitutionnels soulevés lors de celui-ci. Il aide également à créer le premier Centre Etudiants (student center) de la faculté. Par la suite, il est élu Président de la Howard International Law Society, puis Président de l’Association des Etudiants au Barreau, et avant la fin de ses études, Président du conseil d’administration des étudiants.

    Il sort diplômé en 2008 et obtient un poste d’avocat associé dans l’un des cabinets les plus prestigieux des Etats-Unis (classé dans le top 10). Néanmoins, moins d’un an après son arrivé, il choisit de partir pour vivre sa passion, la musique.

    Bien heureusement, le succès semble au rendez-vous pour lui, et après seulement 2 morceaux de freestyle, « Taxi » et « Victory », il se créé un base de fans ; sans avoir encore sorti de morceaux « dance » pour la radio ou mis en place un marketing de vente. En attendant la sortie de son album, X.O. travaille avec des artistes ghanéens et nigérians (MI2, R2bees, Dblack, Sauce Kid…).

     

    Divers

    * Quand X.O. écrit ses textes, chaque ligne doit avoir plus d’un sens, parfois un double ou un triple sens. (Ex. dans « Taxi Music » : “Dawg, you wanna flee or do time, well my flow ticks” = Mec/Chien, tu veux partir/puces ou faire de la prison, mon flow tic comme l’horloge/gratte comme les tique.)

    * Enfant, il écoutait les vieux disques de son père : Stevie Wonder, Fela, The Ramblers, to Bonny M, ABBA, to Simon and Garfunkel. Il aimait la musique mais ne la pratiquait pas. Ce n’est qu’à l’adolescence qu’il commence à écouter du rap, sans pour autant rapper. D’ailleurs, X.O. se considère plus comme un musicien que comme un rappeur uniquement.

    * Le « beat » du morceau « Taxi Music » a été produit par JUSTICE League ; celui de « Victory » par Kid Connect.

    * X.O. Senavoe et le rappeur nigérian M.I. sont allés à la même université et sont restés très proches.

      

    Sources : http://www.ladybrillemag.com/2010/07/x-o-senavoe-america%E2%80%99s-next-hip-hop-star-africa-stand-up-ladybrille-exclusive.html