Fati Kabuika est un Congolais, membre actif de "BD Kin Label". Il a étudié à l'Académie des Beaux-arts de Kinshasa, et a participé à plusieurs projets, dont :

§ l'album collectif "Congo 50", (réalisé par huit bédéistes de "BD Kin Label", et coédité en mai 2010 par Roularta Books associé à Africalia, et réalisé avec la participation d'AfriBD)

§ l'album collectif "La BD conte l'Afrique",publié à Alger en 2009 par les Éditions Dalimen.

§ la série urbaine "Andolo" publiées dans plusieurs numéros de la revue Kin Label, dirigée par Asimba Bathy.

Christophe N'Galle Edimo est le fondateur et président de "L'Afrique Dessinée", à Paris. Il est l’auteur de nombreux scénarios de BD, dont le savoureux "Le retour au pays d'Alphonse Madiba dit Daudet", réalisé en collaboration avec un autre grand bédéiste congolais, Al'Mata, et primé au festival de BD d'Alger.

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Fifi Mukuna est née en 1968 à Kinshasa, dans la République Démocratique du Congo. Durant ses études à l'Académie des Beaux-Arts, elle collabore en tant que vignettiste à plusieurs journaux et revues de bande dessinée. En 2000, elle arrive seconde au "Grand Prix des Médias" dans la catégorie Caricature. Réfugiée politique, Fifi Mukuna réside en France où elle a participé en 2002 à la réalisation de l'album collectif "Afrobulles" avec la BD Al. En Italie, son travail a été présenté dans la revue italienne "Linus" (sur un scénario de Christophe N'Galle Edimo) et dans l'exposition "Matite africane", organisée en 2002, par l'ONG CEFA et par la revue "Africa e Mediterraneo".

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Joëlle Esso est une artiste pluridisciplinaire camerounaise. Diplômée d’une école d’arts graphiques parisienne, elle écrit, dessine, et illustre des bandes-dessinées et des livres (couvertures). C’est également une chanteuse-auteure-compositeure, et une peintre.

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Marguerite Abouet naît à Abidjan en 1971. Elle a douze ans quand ses parents l'envoient avec son grand frère "suivre de longues études" à Paris, où les héberge leur grand-oncle maternel. Après des études moins longues que prévu, elle écrit des romans qu'elle ne fait lire à aucun éditeur, tout en devenant tour à tour punk, super-nounou pour triplés, pour mamies et papis, serveuse, opératrice de saisie, puis assistante juridique dans un cabinet d'avocats. Elle vit aujourd'hui à Romainville et se consacre entièrement à l'écriture. Aya de Yopougon est la première histoire qu'elle destine à la bande dessinée. Avec une voix et un humour inédits, elle y raconte une Afrique bien vivante, loin des caricatures trop souvent répandues. En 2006, elle reçoit avec Clément Oubrerie (le dessinateur) le prix du Premier album au Festival international de la bande dessinée d'Angoulême.

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