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Le pouvoir judiciaire est indépendant du pouvoir exécutif et du pouvoir législatif. Selon Transparency International, le Botswana est le pays le moins corrompu d'Afrique et se classe même comme le Portugal et la Corée du Sud. Néanmoins, le pays est considéré comme ayant les institutions publiques les plus secrètes en Afrique.
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L'Université Agostinho Neto (Universidade Agostinho Neto, UAN) est une université publique angolaise basée dans la capitale, Luanda. Elle est l'une des sept universités publiques en Angola. Jusqu'en 2009, l'Université Agostinho Neto était l’unique université publique, et elle avait des campus dans toutes les villes angolaises majeures. Mais cette année-là, elle fut divisée et ses campus en dehors de Luanda, furent transformées en six universités autonomes, à Benguela, Cabinda, Huambo, Lubango, Malange et Uige. Aujourd'hui l’"Universidade Agostinho Neto" est une université régionale confinée aux provinces de Luanda et de Bengo, mais elle reste la plus grande université en Angola. Alors que jusqu'en 2000, son seul concurrent avait été l'Université Catholique d'Angola, elle est confrontée aujourd’hui à la concurrence d'une douzaine d'universités privées.
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Le chemin de fer de Benguela -Caminhos-de-Ferro de Benguela (CFB)- relie le port atlantique de Lobito, en Angola, à la ville frontalière de Luau et aux réseaux ferroviaires du sud-est de la RD Congo, de la Zambie et au-delà.
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Le Lesotho, royaume de la nation Basotho
Le Lesotho est une Monarchie constitutionnelle enclavée dans la République d’Afrique du Sud. On y parle officiellement le sesotho et l’anglais. C’était anciennement un protectorat du Royaume-Uni jusqu’au 4 octobre 1966, date de son indépendance. Sa capitale -et plus grande ville- est Maseru. On appelle ses habitants les Lesothan(e)s (ou Basotho en anglais).
C’est un petit pays (environ 3 fois plus petit que le département de la Guyanne) montagneux entièrement situé au-dessus de 1300 mètres d’altitude.
Anecdote : l'Hymne national du Lesotho de 1967 a été écrit par un missionnaire français, au XIXe siècle. Toutefois, seuls deux vers furent conservés.
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Extrait tiré du blog African Crafts :
« Ce petit pays montagneux, enclavé au sein de la majeure partie de l'Afrique du Sud, est le royaume de la nation Basotho. Le Lesotho se distingue par son homogénéité. Environ 80% de ses 2,3 millions d’habitants sont Basotho et environ le même pourcentage de la population vit dans les zones rurales. Les 20% restants de la population sont composés de Zoulous, de Xhosas, d’Indiens, de Taïwanais, de Chinois et d’Européens. L’anglais et le sesotho sont les langues officielles du pays, même si l'anglais est largement parlé uniquement parmi les Basotho ayant terminé leurs études secondaires.
Le paysage de ce petit pays de 30.355 km2 est magnifique et défie la plupart des stéréotypes sur l'Afrique. Dans certaines régions, le paysage n'est pas sans rappeler le Sud-Ouest des États-Unis, dans d'autres, les Alpes suisses, et même le plateau tibétain. Le pays est un paradis pour les randonneurs et les vététistes (…). Les visiteurs partent enchantés par le paysage accidenté du Lesotho, les randonnées équestres, les villages de montagne isolés, et les images de cavaliers Basotho portant sur leurs épaules des couvertures vives (et de) jeunes garçons Basotho montant des ânes le long des routes escarpées des montagnes. »
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De gauche à droite, de haut en bas, : les peintures rupestres du Twyfelfontein, Organ Pipes, Burnt Mountain, le désert de sel et d'argile « Sossusvlei », la forêt pétrifiée du Damaraland.
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